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Stephany Pelas : Résidence Seniors dans le Bois de Chigny
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LA VALORISATION DES MAISONS DE RETRAITES

Mon travail se porte dans la commune de Lagny-sur-Marne. Il est situé à environ 28km de Paris et 4km du Parc DisneyLand. 

La commune de Lagny sur marne est composé de 21 356 habitants dont le 78% est une population entre 0 à 59 ans et le 22% est d’une population entre 60 à 90 ans. Et ce pourcentage de population de retraités ne cesse qu’augmenter au fils des années. 

Lagny sur marne a actuellement trois maison de retaites qui se trouvent en centre ville. Le fait que ces centres se trouvent en centre ville l’espace extérieur est très limité de plus qu’il ne s’agissent pas des espaces verts. Il est important de pouvoir offrir aux personnes agées des espaces extérieurs, végétalisés, pour profiter tout ses bénéfices naturelles. 

UNE PARCELLE DANS LE BOIS DE CHIGNY

Le programme de la résidence de seniors va s’implanter dans la parcelle du Château Albert dyer qui se trouve à la limite du bois de Chigny.

Cette parcelle de environ 5 hectares dans la forêt va être l’objet de plusieurs programmes et activités intérieures et extérieurs pour les résidents et les personnes de la ville afin que tout le monde puisse profiter du parc. 

La parcelle constitue d’une topographie importante et d’une faune et flore ambondante et riche. De part il y a un étang dans la partie basse qui va permettre l’atractivité de la zone. 

Les différents attus de cette parcelle me conduisent a proposer une maison de retraite pour offrir des grands espaces extérieurs et un cadre paysager insolite.

LA RESIDENCE DES SENIORS DANS UN SITE ABANDONNEE ET EN RUINES

Le château Albert Dyer est un  bâtiment délaissé et en ruines. Abandonnés il y a des années, il a subit des incendis et des déterioration laissant le château à l’abandon. 

Celui-ci sera l’objet principale de la reconquêtte et la transformation en foyer d’acceuil médicalisé. Il acceuillera les personnes ageés dependentes nécessitant de l’attention médicale permanente. Ce qui devriendra une sorte d’hopital «habitée». 

Le fait que le site soit en pente, je propose une extension de la terrasse du château, un espace de programmes publiques, d’acceuil et d’accès à plein pied depuis l’entrée principale. L’idée est de faire de cette extension un volume le plus léger et transparent possible afin qu’il ne prenne pas le dessus visuellement sur le château, ou qu’il ajoute encore plus de massivité à ce bâti déja imposant. 

Je propose ainsi des résidences en bandaux dans la partie haute de la parcelle qui acceuillera les personnes semi-valides et personnes autonomes. 

Celui-ci sera constuit sur des pilotis afin que les galeries, la salle commune et le centre médicale soient accesibles de plein pied. Les logement auront une forme octogonale, très retiligne qui montrera la privacité de ces endroits. Et au contraire, les parties communes et de partage serons composé de formes organiques. 

Ces nouvelles constructions ainsi que le château creera un parcours autour du parc, dans les lieux d’attractivités et d’activités qui serons reliés par un chemin d’un sol stabilisé pour l’accesibilité de tout les passant. 

finalement, le parc sera objet de plusieur programmes publiques et communes qui pourrons être bénéficié pour les résidents mais aussi pour le reste de la ville. 

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PROBLEMATIQUE DE LA FILIERE DE MASTER « TRANSFORMATION

La filière de master « Transformation » repose sur trois postulats.

Le premier est que la discipline architecturale – aussi bien que le métier d’architecte – ne seront plus guidés, dans les années à venir, par l’élaboration d’un monde neuf. Non parce que les enjeux du monde actuel sont stables. Nous savons que c’est tout le contraire : l’impératif environnemental invalide un grand nombre des situations construites dont nous héritons et la probable crise climatique qui s’annonce ne fera qu’augmenter l’étendue de cette obsolescence. C’est là le paradoxe inédit dans lequel nous sommes désormais plongés : il faudrait construire un monde plus durable, moins obsolescent, mais nous devons, en même temps réduire drastiquement la consommation des sols et des ressources pour faire face au défi écologique. C’est donc avec et non sur les ruines de la modernité industrielle qu’il nous faut apprendre à construire.

Le second postulat est la remise en jeu d’une notion architecturale historique : l’inscription dans un temps long qui ne limite pas celui de l’œuvre. Ce postulat nous amène à envisager l’architecture comme la mise en forme d’une mutation et non comme la seule projection circonstanciée d’une idée ou d’un programme. Il s’agit de s’émanciper de la priorité donnée à l’objet architectural – et à ses innovations – au profit d’une approche qui prend en compte les processus temporels et les états successifs de chacune des situations.

Le troisième postulat est que la préparation d’un site destiné à accueillir une construction ou un aménagement fait partie intégrante du projet architectural : elle en constitue le premier acte. Une des questions les plus négligées depuis un siècle et demi nous semble être celle du sol. La nécessité dans laquelle nous sommes plongés d’envisager le monde « dans ses murs » constitue ainsi une formidable occasion de réinvestir cette question séculaire.

ATTENDUS

L’objectif de cet exercice conclusif de la filière est d’élaborer un projet personnel de transformation d’une situation construite abandonnée ou obsolète. Chaque situation a été identifiée au terme d’une exploration par groupes de la communauté d’agglomération de Blois, selon cinq thèmes distincts : paysage, forme urbaine, alternative, économie et gouvernance. Cette exploration s’est déroulée durant le S9. Les étudiant.e.s sont amenés à développer individuellement leur projet en rapport avec l’existant et à élaborer une architecture qui tout à la fois révèle et ressuscite celui-ci.

FONDEMENTS

L’atelier repose sur cinq fondements principaux :

  1. La mise en distance de la notion de patrimoine

Le projet s’appuie sur une manière attentive d’observer le déjà-là, d’en révéler ses qualités propres, sans se préoccuper des valeurs courantes du patrimoine. L’objectif de l’atelier n’est pas, en effet, de valoriser un héritage mais bien plutôt de sélectionner les éléments d’une situation construite à partir desquels il devient possible de faire projet.

  1. L’analyse à partir du projet

L’inspiration du projet ne provient pas tant d’une connaissance géographique, sociale ou économique du site et du programme que de l’exploration d’un thème architectural et de sa capacité à révéler les qualités et la substance du monde dans lequel les étudiant.e.s sont amenés à intervenir. L’inventaire et le relevé du déjà-là se doivent donc d’être d’emblée orientés.

  1. La transformation par analogie

La méthode analogique constitue une alternative à celles de fusion ou de juxtaposition issues de deux siècles de « construction dans le construit ». Elle permet d’élargir la gamme des rapports possibles entre existant et projet, souvent réduite à une tension entre héritage et création. L’existant peut ainsi être tout à la fois considéré comme ruine, source d’inspiration, matériau ou ressource.

  1. Le privilège de la situation sur l’objet

Les projets de la transformation portent aussi bien sur les constructions que sur les sols. À ce titre, ils n’accordent pas davantage d’intérêt à la matérialité des bâtiments qu’à celle de leurs extérieurs.

  1. Le collage

La technique du collage est privilégiée. Elle permet, dans la représentation des projets, l’association équivalente du neuf et de l’existant, sans que l’un ne s’efface au profit de l’autre. Le collage peut également contribuer à une économie de rendu, la description sélective de l’existant pouvant être incluse dans l’image du projet.

 

Forme urbaine

Alternatives

Paysage

Gouverance

 

 

Economie